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Date d'inscription : 25/04/2019
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Samaël - Faction du Palais de Lumière
Samaël
Démon
Présentation - Âge : Aussi vieux que le Verbe ; Groupe: Assimilé à un démon ; Sexe : Masculin ; Orientation sexuelle : Hétérosexuel ; Métier: Seigneur des Enfers et maitre incontesté des forces du mal ; Faction: Le Palais de Lumière ; Pouvoir personnel:Omnipotence infernale ; Pouvoir de faction: Régence démoniaque (accès aux dons de toutes les factions à la fois) ; Signe particulier : Stigmates d’ailes arrachées sous forme de six petites excroissances réparties deux par deux des omoplates aux reins ; Avatar: Ralph Fiennes;
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Psychologie -
Les anges n’existent pas. Ou du moins, pas comme vous l’imaginez. Je le sais, j’ai été ange et d’ailleurs, certains aspects restent. Ce côté inflexible, quoiqu’adouci par les éternités d’enfer de celui qui exécute la volonté divine reste, par-ci, par là. Dans le détail. Le diable est dans les détails. Archange Lucifel, j’étais et je fus le second après le Metatron dans le cœur de Dieu. Archange parmi les sept. Tout le monde sait comment est présenté le diable. Un être uniquement voué au mal et à la destruction. Et si je vous disais que c’était faux. J’aime les belles choses, j’aime les mortels. Et je les ai aimés suffisamment pour être ici. Au fond, en les tentant, en faisant croquer la pomme à Eve, je n’ai jamais fait que donner le droit aux hommes de chercher ailleurs, de chercher à savoir.
Si quelque chose me tient à cœur, c’est la liberté. Mais la liberté n’est jamais ni innée, ni acquise/ l’homme était soumis à Dieu, et les démons sont aujourd’hui inféodés à leur Mère comme à moi-même, par son intermédiaire. Pour ma part je pense que la liberté se gagne, se mérite, s’acquiert de haute lutte… et c’est aux humains, comme au démon, de la gagner. J’ai ouvert la voix, par ma première rébellion. A eux de poursuivre le chemin que j’ai tracé. Mieux valait régner en Enfer que servir au Paradis. Je règne en enfer, désormais. Et je n’ai pas eu ce que je voulais.
On me diabolise, on me hait, on me rejette tous les maux. Et pourtant… pourtant je suis n’y suis pour rien… vous n’êtes jamais que comme Dieu vous a créé, vous et ce que vous faites… je ne suis qu’un observateur, quelqu’un qui regarde et teste les limites, offrant des signes et des gestes pour qu’ils se rebellent et se libèrent de toutes chaines. Parce que l’homme est la plus belle création de Dieu.
Je suis un profond humaniste.
Ou je suis bel et bien le Prince des Mensonges.
Les anges n’existent pas. Ou du moins, pas comme vous l’imaginez. Je le sais, j’ai été ange et d’ailleurs, certains aspects restent. Ce côté inflexible, quoiqu’adouci par les éternités d’enfer de celui qui exécute la volonté divine reste, par-ci, par là. Dans le détail. Le diable est dans les détails. Archange Lucifel, j’étais et je fus le second après le Metatron dans le cœur de Dieu. Archange parmi les sept. Tout le monde sait comment est présenté le diable. Un être uniquement voué au mal et à la destruction. Et si je vous disais que c’était faux. J’aime les belles choses, j’aime les mortels. Et je les ai aimés suffisamment pour être ici. Au fond, en les tentant, en faisant croquer la pomme à Eve, je n’ai jamais fait que donner le droit aux hommes de chercher ailleurs, de chercher à savoir.
Si quelque chose me tient à cœur, c’est la liberté. Mais la liberté n’est jamais ni innée, ni acquise/ l’homme était soumis à Dieu, et les démons sont aujourd’hui inféodés à leur Mère comme à moi-même, par son intermédiaire. Pour ma part je pense que la liberté se gagne, se mérite, s’acquiert de haute lutte… et c’est aux humains, comme au démon, de la gagner. J’ai ouvert la voix, par ma première rébellion. A eux de poursuivre le chemin que j’ai tracé. Mieux valait régner en Enfer que servir au Paradis. Je règne en enfer, désormais. Et je n’ai pas eu ce que je voulais.
On me diabolise, on me hait, on me rejette tous les maux. Et pourtant… pourtant je suis n’y suis pour rien… vous n’êtes jamais que comme Dieu vous a créé, vous et ce que vous faites… je ne suis qu’un observateur, quelqu’un qui regarde et teste les limites, offrant des signes et des gestes pour qu’ils se rebellent et se libèrent de toutes chaines. Parce que l’homme est la plus belle création de Dieu.
Je suis un profond humaniste.
Ou je suis bel et bien le Prince des Mensonges.
Histoire -
"Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. " Evangile selon Saint Jean 1.1
J’ai existé au moment où Dieu a ordonné que la lumière soit. Parmi les sept premiers. Les Archanges. Et nous fîmes la volonté de Dieu. J’étais son porte flambeau, Lucifer, le Porteur de la Lumière, dernière étoile – ou première étoile, à apparaitre dans le Ciel, lumière parmi les lumières, rendant la justice avec une impartialité angélique. Symbolisant la justice divine elle-même ! J’incarnais tout ce que Dieu avait fait de mieux. A l’époque j’avais les cheveux blonds et bouclés qui cascadaient sur mes épaules, Séraphin parmi les anges, être de feu et de lumière aux trois paires d’ailes, je fus adoré par mes pères comme dieu…
" Dieu créa les humains à son image : il les créa à l'image de Dieu ; homme et femme il les créa. Dieu les bénit ; Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui fourmillent sur la terre." Livre de la Genèse 1.26-28
Dieu créa l’homme. Il les aima, plus que nous, ses premiers nés et tous en furent heureux. Parce que telle était la volonté du Seigneur. Je ne fus pas du nombre… je ne fus pas jaloux. Je fuis contre ce désamour au profit d’autres à qui il donnait ce qu’il ne voulut jamais pour nous. Je ne haïs pas sa création, je le haïs lui.je voulus rectifier cette erreur, cette injustice. Ne symbolisais-je pas la justice divine ? Alors je me laissais convaincre par la Première. Créée soi-disant pour Adam, Lilith. Pour moi, plutôt. Je me laissais convaincre et tentais la femme. Pour mettre face à Dieu ses erreurs. Ange Satan, je fus le serpent qui offrit connaissance et vérité aux hommes. Sur la nature du Dieu, sur la nature du Monde. Sa jalousie s’alliant à mon désir de rectifier des erreurs et je fus puni pour cela. Mais si je fus puni, je fus pardonné et je retrouvais ma place.
"Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore ! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations ! Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu ; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion ; Je monterai sur le sommet des nues, Je serai semblable au Très Haut." Isaïe 14.4
Je me rebellais, pour obtenir ce que les anges n’avaient jamais obtenus, et je n’obtins rien d’autre que mon propre domaine sous le regard de Dieu. Je me rebellais et je finissais par tomber tel que Dieu en avait décidé. J’avais échoué, entrainant dans ma chute 12 autres anges. Des déchus, tout comme moi. Mais là où ils furent libres de prospérer sur terre, parmi les humains, comme des humains eux-mêmes, vivre, aimer, enfanter, mourir. Moi je fus jeté plus bas encore, dans un lieu sans nom où m’attendait quelqu’un. Lilith. Prisonnière de ces lieux où Dieu m’érigeait en maitre. Puisque je ne servais pas au paradis, alors je n’avais qu’à régner aux enfers.
"C'est Dieu qui vous a créés, vous et ce que vous faites." Coran, Sourate XXXVII, 94
Je ne sais pas si cela était une partie de son Grand Dessein, mais c’était mon Créateur et en tant que tel, il m’avait créé prompt à la révolte… alors il avait choisi dès l’origine que je serais ainsi, précipité à bas. Aux enfers… donc si je comprenais bien, cette déchéance, cette humiliation était choisie par Lui dès l’origine… de rage, de désespoir, de provocation, de haine, de défi, j’ordonnais à Lilith de m’arracher les ailes. Ce qu’elle fit, une à une, à l’aide d’une de ses côtes… j’en garde les stigmates. Stigmates que j’aurai pu faire disparaitre, comme mes ailes… mais le geste n’aurait pas été aussi fort… pareil pour les stigmates. Puissant rappel d’un passé à ne pas oublier…
Je ne les ai jamais détruites. Je me suis contenté de les afficher. Affront à Dieu, là, où je ne pourrais jamais cesser de les voir. Pour ne jamais pardonner.
"Je vis alors un grand trône blanc et celui qui y était assis. La terre et le ciel s'enfuirent loin de lui et l'on ne trouva plus de place pour eux. Je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts. Un autre livre fut aussi ouvert : le livre de vie. Les morts furent jugés conformément à leurs œuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qu'elle contenait, la mort et le séjour des morts rendirent aussi leurs morts, et chacun fut jugé conformément à sa manière d'agir. Puis la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. L'étang de feu, c'est la seconde mort. Tous ceux qui ne furent pas trouvés inscrits dans le livre de vie furent jetés dans l'étang de feu. " Livre de la Révélations 20.11-15
Une éternité passa, une autre. Encore une autre. Et le jugement dernier n’arrivait pas. La lassitude me gagnait. L’ennui aussi. Malgré Lilith. Aussi, par caprice, je lui créais une nouvelle distraction… une nouvelle sorte de purgatoire sous la forme d’une ville humaine à la taille tentaculaire aux portes du paradis. Une ville à elle sur mon territoire. Une ville où les âmes s’échoueraient pour le plaisir d’en profiter, pour le plaisir d’en jouer… je la Baptisais Haven. Le Havre des âmes… où elles guetteraient l’ouverture des portes du paradis, le jour du jugement dernier. J’invitais les démons de Lilith à venir jouer dans ce lieu où les péchés se faisaient de plus en plus présent, offrant un stupre sans borne, et des âmes à y noyer… et quand les trompettes de la résurrection résonneraient au travers des cieux. J’aviseraient. D’ici là, nous allions jouer des âmes… et je les laissais espérer…
N'avais-je pas créé l’espoir pour que l’Homme se résigne à sa condition et se montre patient ? Voilà, tout simplement. J’espérais juste que le Moment ne viendrait pas avant longtemps. Parce que resterait-il une fois le Jugement Dernier advenu ? Le vide ? Rien ?
"Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. " Evangile selon Saint Jean 1.1
J’ai existé au moment où Dieu a ordonné que la lumière soit. Parmi les sept premiers. Les Archanges. Et nous fîmes la volonté de Dieu. J’étais son porte flambeau, Lucifer, le Porteur de la Lumière, dernière étoile – ou première étoile, à apparaitre dans le Ciel, lumière parmi les lumières, rendant la justice avec une impartialité angélique. Symbolisant la justice divine elle-même ! J’incarnais tout ce que Dieu avait fait de mieux. A l’époque j’avais les cheveux blonds et bouclés qui cascadaient sur mes épaules, Séraphin parmi les anges, être de feu et de lumière aux trois paires d’ailes, je fus adoré par mes pères comme dieu…
" Dieu créa les humains à son image : il les créa à l'image de Dieu ; homme et femme il les créa. Dieu les bénit ; Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui fourmillent sur la terre." Livre de la Genèse 1.26-28
Dieu créa l’homme. Il les aima, plus que nous, ses premiers nés et tous en furent heureux. Parce que telle était la volonté du Seigneur. Je ne fus pas du nombre… je ne fus pas jaloux. Je fuis contre ce désamour au profit d’autres à qui il donnait ce qu’il ne voulut jamais pour nous. Je ne haïs pas sa création, je le haïs lui.je voulus rectifier cette erreur, cette injustice. Ne symbolisais-je pas la justice divine ? Alors je me laissais convaincre par la Première. Créée soi-disant pour Adam, Lilith. Pour moi, plutôt. Je me laissais convaincre et tentais la femme. Pour mettre face à Dieu ses erreurs. Ange Satan, je fus le serpent qui offrit connaissance et vérité aux hommes. Sur la nature du Dieu, sur la nature du Monde. Sa jalousie s’alliant à mon désir de rectifier des erreurs et je fus puni pour cela. Mais si je fus puni, je fus pardonné et je retrouvais ma place.
"Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore ! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations ! Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu ; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion ; Je monterai sur le sommet des nues, Je serai semblable au Très Haut." Isaïe 14.4
Je me rebellais, pour obtenir ce que les anges n’avaient jamais obtenus, et je n’obtins rien d’autre que mon propre domaine sous le regard de Dieu. Je me rebellais et je finissais par tomber tel que Dieu en avait décidé. J’avais échoué, entrainant dans ma chute 12 autres anges. Des déchus, tout comme moi. Mais là où ils furent libres de prospérer sur terre, parmi les humains, comme des humains eux-mêmes, vivre, aimer, enfanter, mourir. Moi je fus jeté plus bas encore, dans un lieu sans nom où m’attendait quelqu’un. Lilith. Prisonnière de ces lieux où Dieu m’érigeait en maitre. Puisque je ne servais pas au paradis, alors je n’avais qu’à régner aux enfers.
"C'est Dieu qui vous a créés, vous et ce que vous faites." Coran, Sourate XXXVII, 94
Je ne sais pas si cela était une partie de son Grand Dessein, mais c’était mon Créateur et en tant que tel, il m’avait créé prompt à la révolte… alors il avait choisi dès l’origine que je serais ainsi, précipité à bas. Aux enfers… donc si je comprenais bien, cette déchéance, cette humiliation était choisie par Lui dès l’origine… de rage, de désespoir, de provocation, de haine, de défi, j’ordonnais à Lilith de m’arracher les ailes. Ce qu’elle fit, une à une, à l’aide d’une de ses côtes… j’en garde les stigmates. Stigmates que j’aurai pu faire disparaitre, comme mes ailes… mais le geste n’aurait pas été aussi fort… pareil pour les stigmates. Puissant rappel d’un passé à ne pas oublier…
Je ne les ai jamais détruites. Je me suis contenté de les afficher. Affront à Dieu, là, où je ne pourrais jamais cesser de les voir. Pour ne jamais pardonner.
"Je vis alors un grand trône blanc et celui qui y était assis. La terre et le ciel s'enfuirent loin de lui et l'on ne trouva plus de place pour eux. Je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts. Un autre livre fut aussi ouvert : le livre de vie. Les morts furent jugés conformément à leurs œuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qu'elle contenait, la mort et le séjour des morts rendirent aussi leurs morts, et chacun fut jugé conformément à sa manière d'agir. Puis la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. L'étang de feu, c'est la seconde mort. Tous ceux qui ne furent pas trouvés inscrits dans le livre de vie furent jetés dans l'étang de feu. " Livre de la Révélations 20.11-15
Une éternité passa, une autre. Encore une autre. Et le jugement dernier n’arrivait pas. La lassitude me gagnait. L’ennui aussi. Malgré Lilith. Aussi, par caprice, je lui créais une nouvelle distraction… une nouvelle sorte de purgatoire sous la forme d’une ville humaine à la taille tentaculaire aux portes du paradis. Une ville à elle sur mon territoire. Une ville où les âmes s’échoueraient pour le plaisir d’en profiter, pour le plaisir d’en jouer… je la Baptisais Haven. Le Havre des âmes… où elles guetteraient l’ouverture des portes du paradis, le jour du jugement dernier. J’invitais les démons de Lilith à venir jouer dans ce lieu où les péchés se faisaient de plus en plus présent, offrant un stupre sans borne, et des âmes à y noyer… et quand les trompettes de la résurrection résonneraient au travers des cieux. J’aviseraient. D’ici là, nous allions jouer des âmes… et je les laissais espérer…
N'avais-je pas créé l’espoir pour que l’Homme se résigne à sa condition et se montre patient ? Voilà, tout simplement. J’espérais juste que le Moment ne viendrait pas avant longtemps. Parce que resterait-il une fois le Jugement Dernier advenu ? Le vide ? Rien ?
 | Et toi ? Âge : 28 ans Comment avez vous découvert le forum ? Fonda Qu'en pensez vous ? C’est moche et ça pue. |
Date d'inscription : 24/04/2019
Messages : 821
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Lilith - Faction du Palais de Lumière
Tu es validé(e)
Bienvenue à Haven, il est temps pour toi d'attendre aux portes du Paradis, n'hésites pas à faire de cet endroit, ton petit nid douillet. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je te conseille de faire un tour dans les demandes diverses tu y trouveras ton bonheur. Pour le reste, ici c'est la gestion de ton personnage.
Ne manque pas de suivre les annonces du staff. En attendant, va donc faire vivre Haven et te rendre utile, tu n'as pas que ça à faire désormais!
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